Ce travail universitaire aborde les problématiques de la mise en exposition de la bande dessinée en s’appuyant sur l’analyse du second musée de la bande dessinée d’Angoulême, ouvert en juin 2009. A travers un long processus d’analyses et de comparaisons entre expositions passées et musées (entres autres), ce mémoire met en exergue les raisons pour lesquelles le nouveau musée, unique en France, se présente comme étant le résultat d’un long processus de respectabilité et d’intellectualisation.