ville et image de marque : Angoulême et la bande dessinée

mots-clés : Angoulême ; murs peints ; urbanisme ; architecture ; ville

En tant qu’étudiante en architecture, il est intéressant de se questionner sur le développement de nos cités autour de l’image de marque dont le but est de s’agrandir ou tout simplement de survivre face aux autres villes. Entre la compétitivité communicante à laquelle s’adonne les grandes métropoles, les villes moyennes tentent par la même stratégie de l’image de se faire entendre pour exister parmi ces géants. _ Avec une économie industrielle en déclin dans tout le pays depuis quelques années, certaines villes moyennes ont su anticiper par le biais de la diffusion d’une image forte. Cette reconversion urbaine a pour objectif d’ainsi offrir un nouveau souffle économique. C’est le cas de la ville d’Angoulême, qui depuis une quarantaine d’années, a connu l’expérience de sa transformation autour d’une image de marque : la bande dessinée qui s’est par la suite plus largement étendue au secteur de l’Image. Originaire et baignée dans cet univers imaginaire des bulles, sans vraiment se rendre compte que tout cela était une image urbaine construite de toutes pièces, cette réflexion tend à comprendre comment la ville d’Angoulême utilise la bande dessinée pour diffuser une image urbaine attractive. _ La méthode consiste à décrypter le processus qui façonne la ville entière à une seule image représentative de l’espace public et de la population. Celle-ci s’ordonne en trois parties : description, diffusion et impact de la nouvelle image de marque angoumoisine. Décomposer l’image pour mieux se questionner sur ce phénomène de fabrication de nos villes contemporaines. - [{{visualiser le mémoire}}->http://issuu.com/pauline-czls/docs/ville_et_image_de_marque_-__tude_de_cas_angoul_me?mode=window&backgroundColor=%23222222]